Le Hohneck n’est autre que le plus haut sommet des Vosges et, passant quelques jours à proximité, il me fallait y grimper ! D’autant plus que j’ai lu qu’il était facile d’y observer des chamois.

Pour voir ces derniers, il faut visiblement se rendre sur place le matin ou en fin d’après-midi. Bien que je sois du genre matinal, la météo m’incite plutôt à opter pour la seconde option 😆

Si il est possible de se stationner directement au sommet, je préfère laisser mon van en bas, sur la route des crêtes, au niveau de l’auberge. Eh oui ! C’est à pied qu’on profite le mieux de ce genre d’environnement.

Quand je fais de la rando, les 3 quarts du temps, c’est dans le brouillard… Et ce n’est pas en cette journée de mi-septembre que ça va changer ! Du moins pas durant la marche aller.

Une fois en haut, les nuages se dispersent timidement, me laissant petit à petit entrevoir ce qu’il y a plus bas ou au loin. Depuis le sommet je prends un chemin au hasard histoire de faire un peu plus de distance.

Le vent finit de dégager la vue et je ne regrette vraiment pas d’être venu. En plus, sur le retour, j’aperçois sur la pente quelques bestioles. Ils sont là ! C’est toute une harde de chamois qui est entrain de se restaurer tranquillement.

La pente est raide mais je quitte le chemin pour me rapprocher et essayer de faire quelques images. Le 50-140mm monté sur mon Fujifilm X-T4 est un peu court pour cet exercice mais il faudra faire avec.

Je m’approche petit à petit et ma présence semble ne pas les déranger. Peut-être est-ce parce que le vent est dans le bon sens ? Pourtant je vois bien les plus jeunes qui me regardent du coin de l’œil de temps en temps. Bref ! C’est un chouette moment 🙂